ARRETEZ CE SON !

Oui vous aurez surement put entendre Amaris Eleanor Bradford criez ses paroles à tout bout de chant, à chaque fois que quelqu’un l’appelé. Une sonnerie qu’elle ne supportait plus, mais ne la changeais pas, car c’était la meilleure que son portable lui ai proposé. Elle avait beau répondre gentiment, jamais personne ne l’invitait à une soirée, tout simplement parce que personne n’en faisait en ce moment. Pauvre petite fille pourrie gâtée qui ne pensait qu’à s’éclater, boire, fumer et se prendre la tête avec ses enseignants. Sa dernière cible fut l’enseignante d’arts plastiques, petit, ronde, possédant une chevelure brune mal entretenue avec des pellicules, des petites lunettes rondes marron sur ses yeux bleus, surement la plus belle partit de son corps. Amaris c’était amusée à l’imiter, un peu avant que l’heure ne commence. Elle avait mit les lunettes d’une amies, mis sa chemise bleue ciel Dolce & Gabbana dans son nouveau jean Balmain, la ferma bien jusqu’en haut. Par la suite, elle prit un élastique, s’attacha les cheveux en un chignon désordonné et pris son pinceau brosse, car madame Bolomeni en avait toujours dans la main droite. Elle monta en suite sur son bureau, et se mit à l’imiter parfaitement, déclenchant un fou rire général dans l’atelier de peinture. Madame Dessin le prit très mal, et l’envoya dans le bureau du principal, d’où elle était ressortit avec une retenue de quelques heures. Le pire, c’est qu’elle avait recommencé le lendemain. Mademoiselle Bradford est bien une délinquante, qui déteste les bons élèves, déteste les notes au dessus de quinze sur vingt, et surtout ce prendre la tête pour un DM de maths qu’elle n’avait pas commencé et qui était pour le lendemain. Ce n’était de toute façon pas très important, puisque elle obtiendrait les réponses d’Antoine en lui faisant du charme. Antoine était le meilleur élève de sa génération.

Aujourd’hui, le soleil était bien présent, et très efficace, étant donné qu’il faisait tout de même vingt deux degrés, à deux heure de l’après-midi. Amaris portait un jean troué de partout Diesel, un t-shirt à manches courtes Disquared², le tout assortit a ses escarpins préférés Jimmy Choo de douze centimètres. Ces cheveux, naturellement ondulés, retombaient sur ses épaules. Ils étaient lumineux, souples et doux comme de la soie. Adossée à la voiture d’une de ces amies, la Belle tripotée son portable papotant avec pleins de monde par sms, espérant enfin pouvoir aller à une soirée. Ses lèvres étaient ornées d’un léger sourire lorsque son portable sonna. Le simple fait d’entendre la sonnerie déclencha un réflexe de la part de la jeune fille et l’appareille retomba quelques mètres plus loin, silencieux.