Avez-vous envie de tout plaqué quand ça va mal ? C’était tout simplement ce que j’avais envie de faire maintenant, tout de suite. Il était exactement presque que minuit, je venais encore une fois de me disputé avec parents, mais ce n’était surement pas la dernière, mais surement la pire qu’il y a eu depuis pas mal de temps. Mes parents voulaient absolument que je vis chez Damien, mais je n’en avais pas envie. Pourtant à partir de demain, j’habitais dans un nouveau appartement et le pire, j’étais obligé. Je ne savais pas où allais, je ne voulais pas déranger ma meilleure amie avec ces histoires et je ne voulais pas débarquer chez Luka comme ça. Je ne savais donc pas où allait. Je réfléchis une seconde, j’étais vers chez Maxence, l’avenue Foch était même pas loin, mais je ne voulais pas le dérangé. Il devait surement être avec Bonnie ou encore avec l’une de ces conquêtes alors que moi pour lui, je n’étais surement pas la bienvenue. Je n’avais donc nulle part où allait. C’était bien ma veine, ça. Quand j’ai besoin de quelqu’un, je ne trouve personne. Je soupirai, je devais surement faire pitié avoir. Mon mascara avait coulé et j’étais toute décoiffé. Oui, c’est une situation que je déteste être, mais pourtant, on avait remarqué que j’avais pleuré, pourtant j’étais habillé d’une tunique avec un leggins et des ballerines. J’avais donc décidé d’aller chez Maxence, en espérant qu’il ne me dit pas de dégager et qu’il serait là pour m’écouté. J’arrivais quelque minute vers son bâtiment, puis je montais les escaliers, j’avais horreur des ascenseurs. Puis quelque minute, plus tard, j’arrivais vers sa porte. Je soufflai quelque minute puis je fis retentir la sonnette. Il devait surement en train de dormir ou autre chose, je ne sais pas. Il vient ouvrir quelque minute plus tard, il n’avait pas l’air étonné, mais surtout inquiet en me voyant comme j’étais. Je ne dis même pas un mot qu’il me fit rentrer dans son appartement, je le regardais quelque minute avant de le serrer dans mes bras et fondre en larme. Il ne s’attendait surement pas que j’allais pleurer, il me serrait fort dans ces bras en essayant de me calmé, je n’arrivais, j’allais mal tout ça à cause de ce fichu mariage !